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CVQ : le Cerveau Vibratoire Quantique   2 comments

«C’est une sotte présomption d’aller dédaignant et condamnant pour faux ce qui ne vous semble pas vraisemblable»  Montaigne

Le cas des enfants à troubles autistiques

On constate une explosion de cas de troubles autistiques depuis une vingtaine d’années. La France compterait, selon les dernières estimations, quelque 400.000 autistes, soit une personne sur 150. L’autisme est un trouble de la petite enfance qui va du simple TED au syndrome d’Asperger, persistant à l’âge adulte, qui se manifeste par:

— l’incapacité à avoir des interactions sociales normales,
— l’altération de la communication,
— le caractère limité, répétitif et stéréotypé des comportements.

L’autiste vit replié sur lui-même, dans une sorte de monde intérieur.

Il faut cependant faire une différence entre troubles autistiques, autisme vrai et autisme régressif. Pour ce qui nous concerne nous parlerons ici de troubles autistiques et d’autisme régressif, qui peuvent être transitoires et donc réversibles.

Il existe aujourd’hui une polémique de grande ampleur sur les origines de l’autisme, génétiques, vaccinales, intoxinales (métaux lourds, pesticides, thiomersal), alimentaires (gluten), anomalies cérébrales, défauts du placenta, gestation stressée, X fragile, dépression de la mère, perturbation de l’aire de perception de la voix, manque de magnésium… mais il n’y a aucune réponse définitive à cette question. Pour la médecine officielle, il semble que certaines personnes naissent avec une prédisposition à l’autisme. Ensuite, il y a un événement déclencheur et ils deviennent autistes…

En avril 2011, deux députés français ont même déposé une proposition de loi pour faire de ce trouble du comportement la grande cause nationale de l’année 2011. De multiples techniques ont vu le jour pour aider ces enfants au mal-être handicapant.

Même si beaucoup de progrès ont été faits sur les traitements de l’autisme, aucune solution d’adaptation de leur comportement à notre société ne s’est révélée durablement efficace pour le moment. Certaines méthodes de soins alternatives se multiplient donc mais avec des résultats aléatoires, sans que l’on ait encore et toujours ce sentiment que la cause réelle ait été trouvée. De ce fait, les associations d’autistes françaises, largement subventionnés par des capitaux publics, au risque de se faire couper leurs subventions, n’écoutent, n’acceptent et ne tolèrent qu’un discours dit scientifique, «reconnu par la faculté».

Y aurait-il un intérêt «supérieur» à vouloir ignorer ce que la science ne peut maîtriser ?…

Alors, pourquoi ne pas se demander ce que ces enfants tentent de nous dire ? Ne seraient-ils pas le témoignage d’un changement de civilisation? Un dernier rempart, une ultime résistance à un comportement social totalement binarisé, formaté à dessein par le matérialisme mondialiste? Alors pourquoi laisser certains se l’approprier ? Imposer la vue du «tout scientifique» sur le comportement humain? La solution est-elle vraiment à trouver dans le domaine de la science universitaire dite «classique»?

L’origine de l’autisme n’aurait-elle tout simplement pas été cherchée dans le « bon endroit du cerveau » ?

Et si cet endroit n’était pas physique mais quantique ?

Existerait-il une dimension encore inconnue de la psyché et donc (encore) inexplorée par les sciences médicales et comportementales ?

La Théorie Vibratoire Quantique nous offre la possibilité de rentrer dans une mécanique subtile et inhérente au fonctionnement de l’individu. Elle permet d’expliquer pour les physiciens ce que la matière nous cache et pour les Bioticiens qui pratiquent manuellement un art subtil, c’est un système vibratoire d’énergie palpable qui apporte des explications et donne des résultats positifs, notamment sur les troubles autistiques de l’enfant.

Le Cerveau Vibratoire Quantique et son implication chez l’enfant à troubles autistiques

Pour décrire l’enfant à troubles autistiques vu par un thérapeute nommé ici Bioticien®, il est nécessaire d’introduire la notion entièrement nouvelle de Cerveau Vibratoire Quantique (CVQ). En effet, il existe, en miroir de notre encéphale «classique» représenté par le Cerveau Neuronal (CN), un mécanisme subtil de gestion de notre organisme que le Bioticien® a appelé CVQ.

Situé dans une autre dimension de l’espace-temps, mais tout de même «collée étroitement à la nôtre», ce Cerveau Vibratoire Quantique fonctionne à l’insu de la conscience de la personne, bien que, paradoxalement, il en soit l’outil de son existence et de son expression.

Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances de la physique classique, ce CVQ est invisible pour les yeux et pour toutes les technologies, IRM, … Aucune machine ne peut y accéder; seules les «mains magiques» du Bioticien ont eu ce privilège d’accès dans ce lieu hautement protégé et secret.

Car cet espace quantique contient toute la gestion du vivant et de l’évolution.

« L’essentiel » n’est il pas « invisible pour les yeux ? » dit le renard au Petit Prince de Saint-Exupéry.

C’est dans une de ses multiples couches, que se loge la structure de l’inconscient « Bio-psychanalytique » mis en évidence par Emmanuel Guizzo dans les années 1980(5).

Comprendre l’autisme c’est d’abord  comprendre et admettre l’existence et le fonctionnement du Cerveau Vibratoire Quantique.

Cette découverte du CVQ n’a cessé de confirmer la réalité de ce mécanisme invisible, par les résultats obtenus depuis, notamment sur les enfants ultra-sensibles, appelés parfois enfants « différents », parfois enfants « dys », Asperger, voire «enfants lumière » ou « indigo », c’est-à-dire tous à troubles autistiques.

Une loi supérieure qui gouverne la matière et l’esprit 

Ce concept de CVQ qui relève de la vision initiale de l’Homme Vibratoire Biotique peut être comparé à l’homme supra-mental décrit par Shri Aurobindo qui parlait déjà « d’une même loi supérieure qui gouverne la matière et l’esprit », sans toutefois détenir les moyens d’en analyser les composantes à l’époque. Cette philosophie est celle de l’Ashram de Pondichéry, exprimée notamment par Jeanine La Jeunesse, dans sa création du Yoga-Danse® , de la Danse Biotique®, et de l’Ostéophonie®, et qui avait été elle-même formée par Ajit Sarkar, professeur de Hatha-Yoga et maître de recherche à l’INSEP en France et  élevé à l’Ashram auprès de Sri Aurobindo.

Une technique singulière et très déconcertante pour l’esprit scientifique…

Aller dans la matrice multidimensionnelle quantique, dans le cœur même de la machine cérébrale, de la psyché, dans le cœur du mystère du vivant, de l’inconscient, pénétrer dans le cœur de la machine humaine, passer de l’autre côté du miroir comme le montre cette illustration, c’est la puissance des mains  étalonnées du Bioticien qui agissent comme des détecteurs des clés du fonctionnement de la « divine matrice » pour déjouer les pièges de la densité mentale, du conscient, des neurones sans cesse en action dans la matière cérébrale.

Voyage au centre de l’inconscient quantique

«Si l’on sait plonger, grâces aux «mains magiques», (des mains exercées par des milliers d’heures de travail comme probablement les dessins du néolithique nous le suggèrent) au fond de la matière cérébrale, si l’on sait par cet outil, traverser la barrière osseuse du cortex, des neurones, du mental, du conscient, de l’inconscient même, si l’on sait déjouer les pièges de la densité mentale, des barrières de toutes sortes, on atteint un niveau d’organisation extraordinaire qui laisse apparaitre la structure bio-quantique du cerveau. C’est à dire les clés de fonctionnement. Le cœur de la machine humaine.

On est passé de l’autre côté du miroir dans cet espace quantique, où le temps n’est plus le même…

On est dans le cœur même de la machine cérébrale; dans le cœur du mystère du vivant, de l’inconscient. On est dans la matrice multidimentionnelle quantique.

On capte à la fois les mouvements des pensées, les mémoires de stress, la structure biologique du temps, l’agitation des molécules d’eau, leur structure changeante, plastique, la pulsation des neurones, leur gonflement, leur contraction (suivie souvent de déshydratation)… les Mouvements des différents lobes… on voyage dans le passé, le présent, le futur… tout un ensemble de phénomènes ultra-sensibles qui régissent le fonctionnement quantique du cerveau.

« La nature nous offre tant de mystères, tant de phénomènes inexpliqués, que le rejet en bloc des faits inexplicables pour notre science actuelle, paraît maintenant la marque d’un esprit très petit. Nous avons mieux à faire : il nous faut sans cesse accumuler les données, contrôler les faits, et l’explication viendra peut-être dans la suite. »

Abbé Théophile Moreux

Petit rappel du Système Biotique: 

Le système Biotique est l’interface entre le fonctionnement quantique du cerveau et le cerveau neuronal. Ce système nous montre que nous avons deux consciences : une conscience quantique et une conscience neuro-musculaire. Les deux sont imbriquées et interagissent normalement en permanence.

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Comme en physique quantique, l’onde accompagne l’électron — analogiquement — toute l’activité quantique du cerveau est gérée par un principe global de grands Mouvements unificateurs, le principal étant celui de la méduse, puis de l‘aile d’oiseau….

Ce Mouvement Méduse façonne et guide le fonctionnement de communication QUANTIQUE puis neuronal de l’individu. Ce Mouvement porte à la conscience toute l’alchimie interne quantique, toute l’information qu’il reçoit notamment des stimuli sensoriels. Le Cerveau Neuronal prend ensuite la relève par la gestion chimique du cerveau pour induire le comportement visible dit «social». Donc notre comportement dit «social», émotionnel… est géré fondamentalement par le CVQ. C’est cette structure quantique qui est blessée, souvent détruite chez l’enfant autiste. A ce moment, le système neuronal qui a perdu son guide, son modèle, se spasme, se fixe, se bloque créant ce fameux mur invisible dans lequel l’autiste est enfermé.

Continuons l’exploration bio-quantique du cerveau pour expliquer l’autisme:

Le moment où la structure quantique apparait en surface, passe de l’invisible brownien en visible structuré (en géométrie dite euclidienne), est nommé cohérence de phase. Si un obstacle, un grain de sable se met dans cette remontée quantique il y a décohérence de phase.

Par exemple, un stress majeur, un abandon, une vaccination crée cet obstacle. C’est comme une barrière souvent infranchissable. En général tous les autistes sont en décohérence de phase. C’est à dire qu’ils ont perdu la capacité de gestion et du passage du CVQ au CN à cause de ce grain de sable qui a bloqué la délicate machinerie corticale. Peut être simplement le CN est bloqué par un stress, un vaccin, sensation d’un abandon in utero… étouffant ainsi le fonctionnement du CVQ.

Les enfants ultra-sensibles, comme les Asperger, développent des troubles de comportement à cause de ce déphasage, cette décohérence de phase,  entre le CN et le CVQ et de l’altération du CVQ. Faute de bonne gestion quantique du cerveau vibratoire, la chimie est perturbée. Le neurotransmetteur n’est pas conduit par le bon chemin, vers la bonne cible par exemple; l’acide aminé est mal géré et le système dopaminergique sera perturbé avec des réactions de violence… les lobes cérébraux seront perturbés; anormalement excités, ou déprimés si ils ne reçoivent plus ou mal cette énergie quantique. Si ils sont bloqués en onde stationnaire, en boucle, ce sera le mouvement répétitif caractéristique des autistes par exemple.

Par exemple le «flapping», ce réflexe si particulier qu’ont les autistes à imiter le battement des ailes d’oiseau en agitant les mains, vient d’une décompensation par les mains du blocage du Mouvement en ailes d’oiseau du CVQ.

Il faut insister sur le fait que le Cerveau Vibratoire communique avant tout par un sixième outil qui est celui de l’onde quantique; (celle analogiquement couplée aux électrons comparables aux neurones corticaux).

Des stimuli trop forts

L’autisme provient souvent d’un blocage cortical provoqué en réponse aux stimuli de l’environnement qui sont trop forts par rapport à la capacité d’absorption de la « machine corticale quantique » ultra-sensible, et surtout mal gérée. Pour ces enfants ce peut être un simple stress vaccinal, (surtout pour les O+) un stress de gestation, la péridurale, trop d’échographies… LA VOIX DÉPLACÉE DE LA MÈRE OU DU PÈRE… qui bloque profondément l’expression de l’onde corticale du CVQ qui «s’exprime» je l’ai dit, par une dynamique particulière de Mouvements Biotiques. (On assiste alors à un spasme de ce cerveau sur fond de déshydratation).

Car il est évident que si ces stimuli sont trop puissants, s’ils ne rencontrent pas de possibilité de connexion quantique, de mise en phase automatique avec ce cerveau multidimensionnel, ils sidèrent le cerveau neuronal. C’est ce genre d’écoute, de communication que la technique permet de rétablir. Cela apaise l’enfant, son carcan se fissure, et il peut souvent s’ouvrir à l’autre rapidement. Le cerveau lui-même se sent compris en quelque sorte. Il peut alors  appréhender la vie «normale».

Parfois seul le contact avec des animaux comme les chevaux qui ont cette faculté psychique à dialoguer entre deux mondes leur permet de quitter momentanément leur isolement, fait démarrer momentanément le CVQ.

Expression du quantum de vie

Le CVQ «s’exprime » par une dynamique particulière de Mouvements Biotiques issus de la dynamique vibratoire quantique de la nature. Le Mouvement Méduse-Oiseau du cerveau quantique est le secret fondamental qu’a prévu la nature quantique pour communiquer (émettre et recevoir) l’Information. Cette voie de communication privilégiée à laquelle aspire l’enfant ultra-sensible s’altère puis se spasme à force d’être étouffée. Le CVQ perd sa force, s’étiole; il ne peut plus repartir seul. C’est simple, si ce principe fondamental de communication est bloqué, l’enfant ne communiquera plus.

Ignoré, maltraité, méprisé par notre mode de vie moderne, le CVQ ne se développe pas ou plus, régresse même, tout simplement parce qu’il a perdu sa place. Il a perdu la capacité de se nourrir harmonieusement des forces quantiques qui le connectent à ces dimensions multiples, cosmiques, universelles. Ces espaces de vide dans lesquels sont logées – entre autres – les informations de gestion du vivant. Il se sent seul, panique et se ferme.

L’enfant à troubles autistiques a souvent un « gros » CVQ ultra-sensible mais qui reste «bloqué».

Le gros cerveau est comme un gros disque dur mais sans le logiciel adéquat. Ce logiciel étant celui de la gestion du CVQ de l’Homme du futur, son bon état est encore plus indispensable pour ces ultra-sensibles. ( sinon, c’est comme tenter de faire fonctionner un Mac OS avec un logiciel des années 60).

C’est un peu comme si l’écran d’un ordinateur (CN) était connecté au disque dur surpuissant (gros cerveau) avec un logiciel non mis à jour (CVQ dysfonctionnel) de ce fait inadapté et obsolète et ne pouvant ramener en surface que des informations brouillées donc illisibles et par conséquent perturbatrices.

Remarque:

Le gros cerveau quantique peut avoir deux sortes de structures: futuriste (normale) ou sphérique (anormale). La sphérique est plus préoccupante car elle va nécessiter une «resculpturation» totale en forme futuriste pour se stabiliser et stabiliser le comportement avant l’amélioration significative espérée.

À propos du «gros cerveau»

Un article sur http://www.terrafemina.com relatant les dernière recherches américaines contribue à nous donner raison:

Autisme : les enfants atteints produisent trop de neurones

Les enfants atteints d’autisme ont plus de neurones et un cerveau plus gros que ceux qui ne présentent pas ce syndrome. C’est ce que révèle une étude, publiée aujourd’hui dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Selon une étude publiée aujourd’hui dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), réalisée en grande partie par le Dr Eric Courchesne, professeur de neurologie à l’université de San Diego en Californie, les enfants autistes auraient plus de neurones et un cerveau plus gros.

En effet, d’après l’analyse post mortem de treize jeunes garçons, âgés de 2 à 16 ans, sept d’entre eux, tous autistes, ont en moyenne 67% plus de neurones dans le cortex préfrontal que les autres. Cette zone du cerveau traite différentes fonctions cognitives supérieures tels que le langage, la communication et le raisonnement, qui sont justement des compétences intellectuelles fortement affectées par l’autisme.

De plus, le développement excessif de ces neurones, résultant d’un dysfonctionnement prénatal, provoquerait une surdimension du cerveau et de la tête. En effet, l’étude révèle que le poids du cerveau des autistes est 17,6% plus important que celui des enfants normaux au même âge. L’excès de neurones, et donc le grossissement du cerveau, pourrait être la cause sous-jacente du syndrome.

Albert Einstein (1879-1955)

La fascination pour l’esprit performant d’Albert Einstein ne cessa pas après sa mort en 1955. Quand le physicien mourut à l’âge de 76 ans, Thomas Harvey, un médecin légiste de l’université de Princeton fit une autopsie et, sans permission, enleva le cerveau d’Einstein pour l’étudier plus tard, espérant résoudre le mystère de son génie. L’organe fut disséqué en plus de 200 morceaux, dont plusieurs furent examinés par de nombreux neurologues au fil des années, aboutissant à des études sur l’abondance de cellules gliales du grand penseur et à des lobes pariétaux plus larges que la normale. En 2011, 46 lames du cerveau d’Einstein furent exposées au Mütter Muséum de Philadelphie.

Remarque: Selon la protéïonique, (www.protéionique.com) l’abondance de cellules gliales augmente la possibilité de décodage des protéines du sang. Ce système de décodage est «buggé» chez les autistes qui sont donc souvent, comme chez les Asperger, submergés par les informations qui arrivent en conscience.

Une courte vidéo pour expliquer ce phénomène:

http://www.youtube.com/watch?v=G99iLJOapoE

 

Le gros cerveau futuriste dans le mode d’expression

Sans le logiciel futuriste de fonctionnement adapté à ce genre de cerveaux très particuliers, parler, s’exprimer demande alors une énergie trop importante pour qu’elle permette l’expression. C’est soit l’autisme muet soit des perturbations dans la communication qui vont de la simple dyslexie à l’incohérence de langage ou une sorte de proto-langage non articulé.

Les réactions au niveau du langage suite à un blocage du CVQ sont souvent surprenantes, incohérentes. C’est comme si ces enfants passaient de la profondeur  de l’expression à la surface sans pouvoir accéder à cette articulation du langage qui fait la spécificité de l’homme normal. Ils reçoivent par à-coups, des informations quantiques qu’ils ne peuvent faire passer par le langage articulé.

La télépathie serait-elle le langage privilégié à leur situation vibratoire ?

D’autres enfants posent inlassablement, en boucle, des questions répétitives aux parents. Si la réponse de l’adulte n’a pas donné l’information quantique spécifique en accord avec la vibration quantique du cerveau de l’enfant, il continuera à poser la même question parce que son CVQ n’a pas eu la satisfaction de l’onde quantique associée à la réponse neuronale.

Lorsque le Bioticien rétablit cette rencontre entre CVQ et CN chez l’enfant au niveau de la question, celle-ci est résolue.

Quelle que soit la manifestation du problème de communication, le problème vient de cette relation entre le CVQ et le CN.

Conséquence du blocage du CVQ chez les enfants à Haut Potentiel : l’estime de soi

Mon papa est informaticien et moi je suis autiste

Le CVQ des ultra-sensibles est très réfractaire à la «binarisation» des cerveaux et de la société. Le formatage social et scolaire tel que nous le vivons ne l’intéresse pas. Pour lui, nous représentons le monde des neurotypiques qu’il regarde avec effroi.

J’ai remarqué qu’il y avait souvent des enfants autistes dans une famille où le père était informaticien, ingénieur… Pourquoi? Par la pratique quotidienne de l’informatique, le cerveau quantique du parent se structure en bits d’informations. En 0 et 1. Ce qui est le mode de fonctionnement du neuronal. Il n’y a plus de différence entre le CVQ et le CN. Le CVQ s’habitue à fonctionner en binaire et perd sa capacité quantique (la capacité à gérer deux états de particules «à la fois» et non «alternativement» comme en informatique) à faire le lien entre les deux cerveaux; il perd son intuition, il perd l’amour. Il se coupe de sa structure quantique qui est volumétrique et donc de celle du CVQ avec lequel son CN ne peut plus communiquer.

Le fonctionnement vibratoire quantique du cerveau est la résultante de vibration simultanée entre 0 et 1. Par exemple, la solution d’un problème est donnée par cette intrication entre deux neurones. Normalement, l’influx nerveux du neurotypique doit parcourir les chemins synaptiques complexes, explorer les pistes pré-établies par l’enseignement (réfléchir), comme dans un labyrinthe, pour aboutir à la solution espérée. Dans le fonctionnement quantique le neurone sort de son espace temps, rejoint l’espace vibratoire quantique du cortex – un peu comme une sortie de corps physique – et peut ainsi se mettre en cohérence de phase avec la solution déjà inscrite dans ce champ. C’est ce qui caractérise le comportement des autistes, style «Rain Man»

Le CVQ en bon état permet de rentrer dans cette étonnante dimension futuriste. Le CVQ de l’ultra-sensible sait parfaitement jongler avec ces nombreuses interconnexions multidimentionnelles de l’espace temps que cela engendre. Si la communication quantique se coupe par un fonctionnement binaire imposé par l’éducation, la famille… l’enfant ne se sentant pas «compris», isolé, se coupe de ses parents, du monde environnant.

Le scintillement électromagnétique des écrans inhibe la glande pinéale

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Conscience newtonienne contre conscience quantique :

Il y a une différence fondamentale entre ces deux consciences. Le fait d’activer le CVQ permet à la conscience newtonienne — la conscience binarisée et restreinte, celle dont souffre les enfants «différents» — d’entrer dans une autre dimension: celle de la Conscience Vibratoire Quantique. Par cet accès aux mécanismes multidimentionnels de l’esprit, le cerveau se libère, s’organise différemment… pour l’enfant «différent» les souffrances s’estompent puis disparaissent car la «nourriture quantique» alimente pleinement la voracité d’un savoir unifié, d’une connaissance du Tout, auquel le Cerveau Neuronal ne peut leur donner accès.

Comment rétablir la communication entre les deux cerveaux

Après avoir testé brièvement le CVQ de l’enfant, le Bioticien procède à sa réparation. Ses mains transfèrent une énergie quantique structurée qui correspond exactement au besoin du CVQ de l’enfant. Ce transfert est de la plus haute précision. Imaginez un cerveau ultra sensible, qui a besoin d’une qualité d’énergie particulière qui lui a manqué, auquel on brancherait une tension supérieure à celle nécessaire à son fonctionnement. Le moteur serait immédiatement «grillé»…

Tout est une question de dosage

Pour le Bioticien, toute la difficulté pour réparer un Cerveau Vibratoire Quantique qui a «buggé» vient de la puissance et du dosage de l’énergie quantique – du quanta d’énergie – diffusée par ses mains (et jamais par une machine!) qu’il devra communiquer au CVQ de l’enfant pour le faire redémarrer. Trop d’énergie peut griller le cerveau, (c’est par exemple une des raisons de l’échec du magnétiseur); pas assez d’énergie et on ne réussit pas à obtenir la réaction quantique espérée. Pire, l’effondrement de couches quantiques que cela risque d’engendrer peut s‘avérer catastrophique. Je déconseille vivement à tout apprenti sorcier de s’aventurer dans cette voie ardue sans une formation initiatique sérieuse.

L’étape des 3 ans

On remarque que la manifestation du dérèglement comportemental conduisant à l’autisme se manifeste souvent autour de l’âge de 3 ans. Cet âge correspondant au départ de la myélinisation du lobe frontal et au début de la maturation psychique. Le cortex pré-frontal plus précisément est le lobe de l’attention, de l’action, du choix de l’action et des projets. C’est-à-dire tout ce qui fait sortir l’individu du « tout sensoriel » induit par les autres lobes, selon les dernières découvertes en neurobiologie. A partir de 3 ans, le mouvement du CVQ va en fait demander une nouvelle source d’énergie Biotique pour pouvoir accompagner la maturation du cerveau neuro-frontal, le CVQ étant un véritable guide pour le CN. Pour comprendre, on peut comparer le CVQ à un œuf qui a l’énergie pour devenir un poussin mais pas pour « briser sa coquille »…

Quant au langage, s’il n’est pas acquis avant 3 ans, le cerveau de l’enfant aura d’énormes difficultés à re-solliciter cet effort pour briser la coquille qui s’est refermée. C’est alors le mutisme. L’autisme muet.

Si l’enfant a perdu ce potentiel quantique de gestion du langage, les difficultés sont beaucoup plus grandes. En tout cas, ce spasme du CVQ est trop puissant pour être libéré par l’individu seul ou une thérapie neurotypique.

Il est donc très important de tester et (Ré)activer le CVQ d’un enfant avant trois ans, période sensible comme celle des 7 ans. Car après 7 ans, la réactivation du CVQ demande une énergie considérable et un travail de suivi beaucoup plus important.

Les trois étapes essentielles de maturation sont 3 ans 7 ans et 12 ans âge de la puberté

La dynamique du massif facial

Comme on l’observe bien sur la photo ci-contre, le désordre dentaire apparent est révélateur du désordre de la dynamique faciale, une force de construction du crâne et du cerveau qui influe sur la structure quantique du Cerveau.  C’est un reste d’animalité, d’involution. Ce peut être un signe d’alerte chez le jeune enfant qui n’a pas encore été diagnostiqué autiste.

Les résultats

En général, après la (ré)activation précoce du CVQ, (avant 3 et 7 ans) les résultats sur l’enfant à troubles autistiques sont manifestes – quel que soit le suivi de stimulation « classique » (Orthophonie) ou «alternatif» (ABA, Teacch, 3i…) de l’enfant qui doit continuer. Mais il faut toujours avoir à l’esprit que ces méthodes de stimulation sensorielles,  aussi efficaces soient-elles, ne sont que des méthodes de «dressage» du Cerveau Neuronal, en quelque sorte de l’éthologie pour humains. Car dans la majorité des cas, des cerveaux vibratoires que j’ai pu tester après, aucun des CVQ n’avait été réactivé, laissant l’enfant en décohérence de phase avec son Soi cosmique.

Après 7 ans, le travail de reconstruction de ce cerveau particulier est possible mais beaucoup plus difficile et beaucoup plus long, surtout si il y a absence de langage.

Conclusion : 

«une origine du dysfonctionnement comportemental encore inexplorée et porteuse d’espoir»

La mise en évidence du Cerveau Vibratoire Quantique offre aux parents une autre possibilité de comprendre la différence de leur enfant.

Agir sur le CVQ, c’est remettre l’enfant sur les rails de la communication familiale et sociétale.

Le diagnostic précoce du CVQ peut s’effectuer dès la naissance ou même pendant la gestation.

Une fois le CVQ mis en route, la communication se rétablit, mais sur des bases de fonctionnement nouvelles que les parents sont invités à comprendre et expérimenter pour «se mettre sur la même longueur d’onde» que leur enfant, différent mais non moins génial et fascinant.

Ces enfants à troubles autistiques ne sont-ils pas les annonciateurs balbutiants d’une mise en place de l’homme du futur dans le dernier cycle de l’évolution de l’Homme prévu par certains paléontologues comme Anne Dambricourt ?

http://www.youtube.com/watch?v=Ai6Byf3quZo

Dotés d’un cerveau plus subtil, au fonctionnement branché essentiellement sur d’autres dimensions, ces enfants sont encore des êtres mystérieux pour la société matérialiste actuelle qui ne peut encore agir qu’avec ses anciens paradigmes.

À souhaiter que nos résultats sur ces enfants donnent vie à la Théorie Vibratoire Quantique et ouvrent de nouvelles perspectives pour ceux ci.

Image typique d’un autiste dont le Cerveau Vibratoire n’a pas encore été activé.

Image typique d’un autiste en crise par blocage pré-frontal d ‘un Cerveau Vibratoire sphérique.

À lire: Essai sur la mécanique cosmique de l’inconscient : «une découverte fondamentale en sciences humaines» Ed Celena

contact@enfants-autistes.com

Celena

(1) Figaro-Santé, «Faire de l’autisme la grande cause nationale 2011 » Anne Jouan, 24/09/2010.

(2) La situation des personnes autistes en France besoins et perspectives, Ministère de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées, 2003, 75 p.

(3) Effacer la mémoire vibratoire des stress, E. Guizzo, Eds. Celena, 1994,

(4) La Biopsychanalyse, E. Guizzo, Editions Celena, 1993

(5) La Biopsychanalyse, « Elle débarrasse nos cellules de la mémoire de nos stress » La Vie Naturelle N°56)

(6)  Institut National du Sport et de l’Education Physique

(7) Troubles envahissants du développement

(8)«Le bébé philosophe», Alisson Gopnik ; Ed. Le Pommier 2010

Merci à http://www.enfants-autistes.com/enfants_autistes/Bienvenue.html